Home sweet home.
Après deux mois sur les routes de France, entre le sud-est, le midi, la montagne, l’océan, me voilà de retour à Paris. Finies les études, et après des vacances reposantes et ressourçantes, je suis prête à affronter le monde professionnel et l’univers merveilleux du journalisme (et des piges).
Comme je ne peux encore me résoudre à dire au revoir au soleil, aux copains, et aux longues soirées d’été, et que je suis sûre que vous non plus, voilà le top 10 (en vrac, sans ordre) des images de mon été.
A vous de me dire comment s’est déroulé le vôtre: ensoleillé ? amoureux ? tropical ? travailleur ?
A très vite !
Delphine
Observer les surfeurs s’élancer sur les vagues à Biarritz et sur le reste de la côte basque, au lever comme au coucher du soleil.
Aller écouter le groupe AIR à la Philarmonie de Paris, première fois dans ce lieu sublime à l’acoustique parfaite.
Redécouvrir l’Isle-sur-la-Sorgue en amoureux, aller manger des glaces (beaucoup trop de glaces) chez Isabella, longer la rivière à vélo.
Voir deux pièces à l’occasion du Festival d’Avignon: la Fiesta d’Israël Galvan, dans la cour d’honneur du Palais des Papes, et l’Impromptu 1663 de Clément Fervieu-Léger, avec le Conservatoire national d’art supérieur dramatique.
Passer la soirée dans une crique dans le Midi, faire griller des saucisses sur la plage, s’enivrer jusqu’au bout de la nuit au rythme des vagues.
Manger des tapas au bord de l’eau dans la ville de Dali, Cadaques.
Se balader longuement sur le lac d’Annecy à bord d’un joli bateau, admirer la montagne, apercevoir les parapentes décoller, puis s’envoler dans les airs.
Parler météo et champignons avec Jean Sulpice (rien que ça) dans ses nouvelles cuisines, à l’Auberge du Père Bise (je ne m’en remets toujours pas, laissez-moi le temps de redescendre).
Profiter de Paris un peu moins bondé le 15 août, et aller manger un bo bun au Petit Cambodge avec les copains.
Profiter de quelques jours de congé fin août pour aller au cinéma voir Dunkerque, lire (entre autres: La valse aux adieux de Milan Kundera, Lady Scarface de Diane Ducret…), et mater The Handmaid’s Tale sous la couette (20 degrés un 21 août, tu parles Charles !).